|
| ••• Alone is a forgiven word •• Libre. | |
| | Auteur | Message |
---|
Invité Invité
| Sujet: ••• Alone is a forgiven word •• Libre. Jeu 20 Aoû - 23:46 | |
| Pour toute histoire, il faut commencer par le commencement, n'est-ce pas ? Dans ce cas, afin que vous ne soyez pas trop laissé dans l'inconnu, je tenais à vous conter mon arrivée dans cette université. Cela fait maintenant une semaine que cela s'est passé : mon arrivée dans le studio d'étudiants. Nous étions trois à se le partager, je dois avouer que dés que j'ai su cela, une boule s'est formée dans mon ventre. Non pas que cela m'intimidait de me retrouver avec d'autres personnes, non, bien sûr que non, juste qu'étant une habituée à avoir mon espace vital bien à moi, je me demande si je parviendrais à être bien dans ces petits murs avec deux autres personnes. J'aurais bien voulut un logement rien que pour moi comme ça je n'aurais pas eu à me soucier de tout cela mais bon, je n'étais pas vraiment du genre à exiger tout ce que je désire aux autres. Étonnant non ? Pour une fille qui a tout pour elle, c'est vrai que c'est un peu louche, mais tout n'est qu'une question d'éducation. De ce côté, j'ai eu de la chance d'avoir mon père, si cela avait été entreprit par ma mère, je suis persuadée que je serais comme toutes ces filles que je côtoie : pourrie gâtée et capricieuse. Bien évidemment, j'ai eu ma phase caprices, avec tout l'argent que possédaient mes parents, parfois je trouvais injuste qu'ils ne voulaient pas acheter le jouet que je voulais. Je les remercie rien que pour ça, m'avoir dit non. Même si sur le moment j'avais pleuré toutes les larmes de mon corps, je les remercie.
Ce jour-là, j'étais arrivée dans l'après-midi à la résidence. Je ne voulais pas attendre le soir, me débarrasser au plus vite était mon objectif. Aussi peut-être que mes deux colocataires ne seraient pas encore arrivées alors j'aurais pus m'installer bien confortablement et me trouver comme dans mon nid dans ce studio. Cependant, j'aurais peut-être dut prévoir mon arrivée plus tôt... J'avais ouvert la porte avec ma clef puis été entrée. Alors que je refermais la porte derrière-moi, j'avais balayé la pièce qui semblait être un salon du regard. À ma droite se trouvait un meuble, à ma gauche, relié au mur, on retrouvait un porte manteaux où je déposai ma veste que j'avais pris sur mon bras. Je m'attardai alors plus sur le livingroom qui s'offrait à moi. Quelques vêtements étaient déposés sur le dossier du canapé, il y avait deux fauteuils et une table basse au milieu. Devant fenêtre se trouvait un poste de télévision qui étant en veille. J'allai l'éteindre et posai mon grand sac où se trouvaient mes effets personnels sur le canapé pour m'aventurer en toute liberté dans la cuisine. Celle-ci n'était séparée du salon que par une sorte de bar. Derrière se trouvait une paillasse et en face, les outils électroménagers comme le lave-vaisselle, le four et micro-ondes, sans oublier le réfrigérateur. Dans l'évier qui était au bout contre le mur, se prélassaient une assiette et ses couverts. J'ouvris le lave-vaisselle et y rangeai tout ça. Revenant dans le salon, je pris mon sac puis ouvrit les portes du couloir. Une chambre directement sur la droite, à côté du salon, sur la gauche derrière la cuisine se trouvait une autre chambre, la troisième était au bout du couloir. Quant à la salle de bain, elle était sur la droite, à côté de la première chambre.
Dans tout ça, j'avais put remarquer que la deuxième chambre était libre. De ce fait, j'y retournai puis fermai la porte. Laissant tomber ma valise par terre, je soupirai en me laissant tomber sur le lit à deux place qui était au milieu de la pièce. Je n'étais pas vraiment en forme. C'est que le trajet Boston-Los Angeles en avion n'était pas une partie de plaisir... Bon, il n'y avait pas beaucoup de monde à BOS, à six heures et demi du matin, ça allait. Et puis American Airlines a des appareils confortables, mais le voyage fut long : six heures et quart pour arriver à LAX ! Nous y étions vers onze heures et là le monde... Je vous dis pas, je n'avais pas dormit de tout le trajet, fascinée par le hublot avec le levé de soleil et les films lorsque la vue devenait trop monotone. Ma mère profitait de tout, surtout du champagne. Nous étions en première classe, encore heureux ! Sinon je n'aurais pas tenu entourée de mille gens ! Enfin bref, j'étais crevée et je ne voulais voir personne. C'était rare que je ne veuille pas voir ce qui se passait dehors, en général je cherchais toujours à faire de nouvelles rencontres lorsque j'arrivais quelque part. Cela dit, c'était loin là et surtout très grand, je voulais attendre d'être en forme pour m'aventurer en ville.
Après avoir passé dix minutes allongée sur mon lit, je commençai à déballer mes affaires. Je mis mon sac sur le lit puis l'ouvrit. Tout était bien rangé, très aligné, les tee-shirts et tout le reste même, avait la même largeur, pas la même épaisseur, mais si ça aurait put être possible, j'y aurais fait attention. Un peu maniaque sur les bords oui, il n'y a que lorsque je suis bourrée que je ne fais pas attention à un verre d'eau qui traîne. Ça, je ne savais vraiment pas de qui je le tenais... Ma mère laissait toujours tout traîner, surtout les bouteilles, les femmes de ménage s'occupaient de les ranger. Mon père était un sacré bordélique lorsqu'il avait la flemme mais moi, dans tout ça, j'aimais que tout soit bien carré. Enfin, je commençai à ranger mes vêtements dans la commode qui était en face du lit puis rangeai aussi les quelques objets que j'avais amené. Un cadre où se trouvait une photo de mon père et moi sur ma table de nuit, mon nécessaire féminin : crèmes, maquillages & co. Il n'y en avait pas beaucoup mais il fallait tout de même les sortir. Puis d'autres effets. Alors que je refermai le sac qui m'avait l'air de jouer la concurrence avec celui de Mary Poppins, j'entendis la porte s'ouvrir. Je ne l'avais pas fermée à clef, c'est que je ne fermais jamais rien à clef. Trop peur de restée bloquée quelque par, encore plus dans les endroits étroits. En toute honnêteté je suis claustrophobe. Enfin, je sortis de la chambre et vis une fille qui parlait à son cellulaire. Elle n'avait pas de sac, elle devait être arrivée avant moi, ou sinon c'est une voisine qui s'est trompée de porte... Je m'avançai doucement vers le salon tout en la considérant d'un air impassible. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: ••• Alone is a forgiven word •• Libre. Ven 21 Aoû - 1:06 | |
| See' n'avait pas prit l’avion non le train c’est plus agréable puis il y a des arrêts pour pouvoir fumé, sa petite drogue sinon elle aurait encore plus énervé tout le monde dans sa cabine déjà qu’elle n’était pas douce avec elle, si en plus elle ne fumé pas les gens aller l’étranglé. Enfin bon, une pause magnifique elle sortie mais son blouson en cuir noir qu’elle porter avec un tee-shirt long puis une sorte de slim collant brillant qui lui coller à la peau avec des talons noir qui fessait son style junky funky elle s’appuya contre un poteau les lunettes sur les yeux & les cheveux détachés. Elle alluma sa clope quelques minutes plus tard elle termina & remonta dans le train elle s’assit calmement leva sa veste puis garda ses lunettes une veille dame lui fit une réflexion que c’était mal polis de garder les lunettes à l’intérieur , Swee’ ris puis lui dit qu’elle importance elle n’était pas là pour lui montré sa politesse la veille dame maronna & sortie du wagon . Tant mieux une de moins, non pas que Swee’ n’aimait pas le monde au contraire c’était agréable d’avoir des gens à qui remettre en place de tant à autres. Sa amuser beaucoup la brunette. C’est vrai les gens la juger sur le comment du pourquoi de sa tenus ou encore sa réaction mais qu’es qu’elle s’en foutée après tout. Elle était comme elle était, enfin bon le voyage fut plutôt long pour changer, elle dormit un peu c’est son portable qui la réveilla son pote qui voulais savoir si elle était toujours dans la même ville, Swee’ l’appela et lui ris au nez lui disant qu’il la reverra plus jamais. Elle lui raccrocha au nez brutalement, les gens dans le wagon la regarder de travers une petite fille devant elle la regarder bizarrement la demoiselle sourit & lui tira la langue Swee’ avait la langue bleu grâce au petit bonbon magique. Enfin bon la petite fille ris puis sa s’arrêta là , la demoiselle sortie du train avec sa sort de valise ou tout était enfoncé de force & après sa avait était plus que dur de fermer son sac , enfin bon passons elle prit un taxi puis arriva au point voulu une clef lui avait était envoyé d’ailleurs c’était plutôt miraculeux qu’elle ne l’avait pas perdus mais enfin elle ouvrit la porte rentra personne n’était là non personne tant pis elle n’embêtera personne pour l moment elle devra attendre. Bref elle prit un lit ouvrit son sac sortie toute ses affaires & tenta de tout mettre dans l’armoire comme sa venait sans calculer que sa soit bien ou mal ranger non mais carrément qu’es qu’on s’en ficher que le tee-shirt soit de travers ou vert blanc violet c’était pareil. Enfin bon elle déposa quelque habits sur une chaise visita à la vite fait la chambre puis partie visité un peu la ville, oui c’est vrai le temps était long est pourtant c’était magnifique comme ville Swe ce devenait d’avoir l’esprit créatif elle voulait être photographe alors bon elle voyait de belle choses mais elle n’avait pas prit son appareil photo après tout elle aura tout le tant de faire ce qu’elle souhaite beaucoup plus tard. Une nouvelle année parte d’ici plutôt super, d’ailleurs elle avait un garçon à embêté si ce n’était pas de trop, Seven OH OUI Seven le magnifique Seven avec qui elle avait une relation plus que Ambigüe avec celui-ci. C’est vrai ils fessaient les indifférents l’un à l’autre, mais quand les deux ce retrouver au lit c’était une autre histoire, une autre magnifique histoire même si la demoiselle ne ce l'avouera jamais & ne lui dira jamais du moins pour le moment, elle reste sobre. Enfin bon c’était une histoire sans fin qu’elle ne préféré pas évoquer du moins pas maintenant. Il avait d’autres sujet super intéressent comme tient le pigeon là, il est intéressent au moins lui n’avait pas d’histoire, Seew ’ en était pratiquement sur après tout qu’es qu’il pouvait avoir comme ennuis ? Si ce n’est de faire caca sur les gens ? D’ailleurs bien que la demoiselle ne Chipoté pas souvent, mais elle ne supporté pas que les pigeons lui fasses dessus. Non mais pour qui ils ce prenait ?
Puis la demoiselle décida de rentrée dans sa chambre, oui c’était bien est belle sa chambre sa belle est magnifique chambre qu’elle partager en trois –‘ super pas vrai ? Bon elle monta les escaliers ne toqua même pas à la porte rentra son portable sonna elle décrocha elle parler assez fort & gueulé pour la personne qui commencer sérieusement à l’énervé complètement. Enfin bon elle ne savait pas qui avait une personne, dans l’appartement jusqu'à ce qu’elle rentre dans le salon & qu’elle voyer un manteau de marque elle raccrocha au nez de celui qui attendait au téléphone, beau blouson elle ne dit rien en allant à la cuisine elle tomba nez à nez avec une blondinette une vrai Barbie ce n’est pas vrai. Une vrai Barbie de Malibu. La vrai, pas la refaite la vrai bourré de fric enfin c’est la première impression que lui donna la demoiselle elle ne décrocha pas un mot elle ne parler pas à ce genre de personne elle était là en face d’elle sans rien dire. Qu’es qu’elle pouvait bien dire à ce genre de personne, elle eu une idée parler comme eux pointu & tout le reste elle aller ce marré. Elle fit la révérence puis regarda la demoiselle sourit de toute ses dents.
Bonjour très chère comment allez-vous ? Je crois bien que je suis votre comment dire codonatrices. Je ne suis pas ce que vous attendait.
Elle ce retenus de rire, puis ne dit rien de plus. Elle ce foutée de sa gueule en quelque sorte & pas qu’un peu. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: ••• Alone is a forgiven word •• Libre. Ven 21 Aoû - 16:27 | |
| Alors que la jeune fille entrait dans le studio sans vraiment porter de grande importance à mon égard, je hochai la tête avec un petit sourire imperceptible sur mes lèvres. Des cheveux longs emmêlés, des vêtements kitshisimes mais qu'elle doit sûrement bien aimer même si au fond elle se moque si son pantalon vinyle va ou non avec son tee-shirt long, des chaussures abritant des chaussettes dépareillées : de toute façon personne ne les voit, et ses yeux qui restaient sans porter de réel intérêt à ce qui l'entourait. Il n'y avait pas à dire, elle me faisait penser à mon époque grunge où on se moque de tout et surtout de tous !^^ De ce fait, j'imaginais déjà l'idée qu'elle pourrait se faire d'une blondinette aux yeux bleus. Une cruche de plus, une poupée qui fait attention à ne pas déranger son brushing, qui fait des manucures tous les deux jours tellement qu'elle a de l'argent à dépenser. En général, sans même connaître les gens, tout du moins auparavant, je les catégorisais, les mettais dans des rangs de personnalités comme tiens, lui c'est un snobinard, elle c'est une pouf délurée, lui c'est un coureur de jupons etc. Cependant, depuis que j'avais remarqué que ce n'était pas parce qu'une fille était soignée, blonde et riche qu'elle était une pauvre gosse pourrie gâtée avec un ego faisant trois fois ses quarante kilos tout mouillée, et bien j'avais cessé de faire ça. Je savais par expérience propre que cela pouvait blesser. Toutefois, avec la force des choses, lorsqu'à présent on me repousse parce que j'ai l'air d'une riche fille à papa hautaine, cela passe au-dessus. Je sais que personne n'ait parfait et que chacun apprend les choses à son rythme. Ceux qui repoussent les personnes avant de les connaître aujourd'hui peuvent mûrir et les accepter le lendemain. C'est imagé mais c'est une façon de dire qu'il faut laisser le temps faire son office : on peut changer mais on ne peut pas attendre des autres qu'ils changent. Allez faire comprendre à un esprit fermé qu'il ferait mieux d'écouter avant de juger, c'est peine perdue.
- Bonjour très chère, comment allez-vous ? Je crois bien que je suis votre, comment dire... codonatrice. Je ne suis pas ce que vous attendiez, me répliqua après révérence cette fille. Je fronçai les sourcils, me demandant pourquoi elle se prenait tant d'airs, cependant il ne fallait pas être trop intelligent pour comprendre qu'elle se moquait ouvertement de moi. Sans vraiment de raisons valables, elle se payait ma tête. Si tel était son trip, qu'elle se prenne la tête toute seule, je n'étais pas vraiment du genre à chercher des poux aux autres. - Enchantée... Ai-je simplement répondue avec un sourire indifférent, comme si elle n'avait finalement rien dit.
Je pris une bouteille d'eau minérale qui se trouvait en-dessous de la paillasse puis allai m'en retourner dans ma chambre. Sur mon lit j'avais laissé un calepin où j'y avais fait plusieurs croquis. Le levé de soleil que j'avais pu admirer depuis les nuages, les quelques vues imprenables qui m'avaient été données puis l'aéroport de LAX. Je pensais faire un dessin de la vue sur la ville que m'offrait cette chambre mais d'abord il fallait que je retrouve mon crayon. J'avais un crayon assez spécial pour les dessins. J'en refaisais un dés qu'il n'était plus haut que d'un centimètre. J'étais très économe et ça ne me dérangeais vraiment pas d'attendre la fin d'un crayon pour en prendre un nouveau. Chacun, avec son temps, était 'costumisé'. Celui que j'avais, encore long de cinq centimètres, avait quelques dessins style manga et j'y avais mit une petite épingle à nourrice, au bout dans le bois, où j'avais installé six perles : une bleue, une blanche, deux jaunes, une blanche et une bleue, rappelant les couleurs du drapeau du Massachusetts. Enfin bref, il était tombé dans le fond de mon sac à dos que j'avais posé dans le coin au fond de la chambre. Je devais donc me baisser pour pouvoir le chercher dans celui-ci. Avec les affaires qu'il y avait dedans, je faisais mieux de tout enlever, c'est donc ce que je fis pour le retrouver. Une fois le crayon en main, je vis que ma colocataire pleine d'humanité et aimant faire l'intéressante tenait mon calepin entre les mains. En général je sautais sur les personnes qui touchaient à mes affaires pour leur crever les yeux mais disons que je ne voulais pas créer de bases si mauvaises que celles qu'elle avait déjà posé pour nous. Je me contentai donc de la regarder, toujours très calme, comme si je n'étais que la lectrice de l'histoire qu'elle faisait. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: ••• Alone is a forgiven word •• Libre. Lun 24 Aoû - 2:18 | |
| La demoiselle, aimer faire l’intéressante c’est vrai quoi de mieux que de montré ce qu’on savait faire. Ce n’était pas méchant, mais juste qu’elle aimait bien taquiner les gens leurs faire honte ou les embête les pousser a bout elle savait faire & bien puis sa ne la gêner absolument pas au contraire c'était plutôt marrant car les gens s'énerver vraiment pour un rien de nos jours c'est sa qui était vraiment marrant ce dire que les gens pette un câble car Sée ce fou de leur gueule ou encore dit des remarques. La demoiselle ne voulait blesser personne mais sinon, défis elle le fessait sans vraiment le vouloir, dire des paroles blessante sans avoir voulus cela, défis oui elle y allait fort mais ce n'était absolument pas voulus bon des fois oui bien que sur que oui. Quand les gens étaient plutôt mal polis qu’ils soulent la petite demoiselle, sa y allait & pas qu'un peu en plus, voyants le caractère que avait la demoiselle normal que sa y allait de bon cœur. Bon d'accord elle ranger les personnes dans un panier & ne les bouger plus le plus souvent, non elle le mettait la dans cette catégorie & il y rester mais que peut être avec cette blonde cette petit règles allait changer car elle n'avait pas l'air comme cela non pas du tout, bon intelligente mais sa tout le monde l’était, maniaque après on est tous différent. Elle avait juste la tête d'une petite Barbie de Malibu, bon elle n'avait pas l'air refaite mais après tout qu'es qu'on s'en foutée qu'elle soit refaite ou naturel ? Bon elle était blonde est plutôt belle, c'est vrai s'est bien pour ça que la demoiselle la considéré comme une blonde : Barbie. Et il était où le Ken ? La demoiselle allait telle sortir ces bêtises à la petite blondinette ? Non surement pas. La sa voudrais tout dire, alors que le sens de Barbie de Swee n'était pas celle de la catin ou autre personnage vulgaire pour une fois qu'elle ne penser pas à sa la demoiselle c'était plutôt un exploit. Enfin bon, elle sentait un petit froid après ce qu'elle venait de faire c'était osé ? Il ne fallait pas tout prendre mal non plus, mais plutôt avec le sourire c'était beaucoup plus agréable non ? Que de prendre tout mal sa sert à rien de prendre mal ce que dit Swee le plus souvent sa n'avait pas d'importance car elle sorte conneries sur conneries, intelligente la demoiselle ? ^^ Oui sa avait l'aire pas vrai ? Elle me sortie juste un enchanté sans rien savoir de plus sur sa colocataire bizarre la petite Barbie, quand même la moindre des choses était que ... Swee ne fasse pas cela ! Mais c'était plus fort qu'elle alors ce n'était pas vraiment de sa faute quand même elle voulait rigoler un peu c'était plutôt tendus quand elle était rentré puis la demoiselle était plutôt décontracté amusante, oui faire l'intéressent sa lui plaise mais quand même la elle n'avait pas de public ! Dommage car elle a beaucoup de succès. Enfin bon la Barbie partie s’assoirai, et puis Swee la suivit peut après non pas pour présenter des excuses au non, elle n'en était pas encore la mais pour engager la discute pour en savoir plus surtout avec qui elle allait habiter si c'était une tarée elle aller gicler vite fait. Mais elle n'avait pas l'air de ce genre là, & heureusement. Enfin bon il avait un cahier elle le chopa puis s'assit sur un canapé qui avait tout prés du lit regardant toute les pages. Oui elle fessait comme chez elle & puis ? Ce n'était pas polis ce qu'elle avait fait mais après tout elle allait faire comme chez elle & surtout resté elle même, il ne fallait pas ce compliqué la vie. Les dessins étaient plus que réussit elle était vraiment douée. Faire des compliments Swee savait les faire mais c'était tellement rare, ci elle le fessait c'est qu'elle le pensait vraiment elle ce leva & rendus les dessins à la demoiselle et lui sourit.
-Vraiment .... Tue s douées. Beaucoup ! Et je ne dis pas pour te faire plaisir je suis plus que sincère & les compliments ces rares que j'en fasse, donc c'est que je le pense. Au faite moi c'est Sweelanna, je t'autoriserais à m'appelle Swee si je suis sur que t'es pas une psychopathe car bon, je ne fais pas confiance a la première vue on c'est jamais*. Bien que ce ne soit pas contre toi, mais juste qu'on est dans un monde de fou & sa je pense que tu le sais.
Elle lui adressa un large sourire. Puis elle entendit la porte souvrir à nouveau puis la demoiselle enfin Swee supposa , jeta ses valises par terre un gros boum raisonna dans l'apparatement un claquement de porte puis , une tête pas inconnue qui s'afficha derriére la porte.
-Ba tient la folle du sport .
Swee Sourit. la laissant arrivé. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: ••• Alone is a forgiven word •• Libre. Jeu 27 Aoû - 1:59 | |
| [ Désolé si il y a des tournures de phrase un peu étrange ]
Ce jour la, après s'être levée vers onze heures du matin et avoir apprécié un bon petit-déjeuner préparer par une des cuisinières de sa mère, Taylor était allée peaufinée rapidement sa valise qu'elle avait débuté vers deux heures du matin, après être rentrée d'une fête organisait par quelques personnes de son lycée. Cela faisait des jours que sa mère lui répétait avec insistance qu'elle devait commencer sa valise, c'était important et qu'elle allait encore oublier des affaires comme a chacun de leur voyage. La jeune femme avait beau écouter, cela ressortait immédiatement par l'autre oreille. Elle ne voyait pas l'intérêt de préparer une valise une semaine à l'avance, surtout qu'elle aurait peut-être besoin des habits qui s'y trouverait une fois celle-ci fermée. Une fois sa seconde valise complètement achevé, elle prépara son sac qu'elle prendrait sur elle durant le court trajet. Elle habitait si près du campus que sa mère avait d'ailleurs pris son médecin à l'hôpital de UCLA. D'ailleurs celle-ci lui avait proposé de l'emmenait en voiture ou de demander à un des chauffeurs, mais Taylor avait préfèré prendre le taxi ce matin. Cela avait d'ailleurs fait de la peine à sa mère qui avait du mal à voir sa grande fille partir de la maison si vite. Il fallait la comprendre. Elle avait perdu son mari tout juste cinq and auparavant. Et bien que la fortune, qui ce compté en milliard de dollars, qu'elle avait hérité était plutôt consolante, elle l'aimait tout de même... elle ne pouvait pas l'oublier. Voir partir sa seule et unique fille c'était un peu comme perdre un souvenir qui ne serait maintenant plus présent au quotidien. Taylor l'avait réconforté avant de partir de la maison, qu'elle viendrait la voir le plus souvent possible... enfin, si elle se souvenait de sa pauvre mère... Elle aurait surement plus intéressant à faire en arrivant las bas.
Taylor était monte dans le taxi dès que celui-ci fut arrive. Sa mère avait tout de même tenue à lui en appeler un pour ne pas qu'elle est à se balader avec ses bagages. Durant le cour trajet, d'environ une vingtaine de minute, la jeune fille échangeait des regards entre le ciel, les voitures dehors et son téléphone pour répondre aux sms qu'on lui envoyait. Malgre tout, elle trouva le temps bien long. A vraie dire, elle avait hâte d'arriver. En espérant qu'elle n'aurait pas comme colocataire, des drogues qu'elle aurait à supporter toute l'année. En tout cas, elle allait retrouver pas mal de monde qu'elle connaissait déjà et elle sentait qu'elle allait bien s'amuser. En arrivant, le taxi la déposa non loin de l'entrée de la résidence et pour quelques dollars de plus, il accepta de porte ses bagages jusqu'à l'entrée. Elle le regarda ensuite partir, sans même le remercier. Elle savait que l'argent lui suffirait en guise de remerciement.
007. C'etait le logement qu'on lui avait attitre. Un chiffre qu'elle ne portait pas dans son coeur, a bien savoir pourquoi. Elle ne mit pas beaucoup de temps à trouver comme il se trouvait non loin de l'entrée de la résidence. Elle sortit son trousseau de clefs de sa poche, sur lesquels était accroche en plus les clefs de sa valise et de chez elle. Elle entra les clefs dans la serrure, tourna la poignée et poussa la porte. Taylor entra sur la pointe des pieds, mais jeta ses valises si fort qu'il y avait peu de chance qu'on n'est l'ai pas entendu. Elle soupira, déja fatigue par son petit trajet puis claque la porte dans un même fracas.
Swee - Ba tient la folle du sport .
C'est à peine si T. redressa la tête pour jeter un regard a Sweelana. A ce moment précis, ni les paroles, ni la présence de sa colocataire semblait l'intéressait. Elle se dirigea vers la dernière chambre et déposa ses bagages, contente d'être arrive. Lorsqu'elle revint ensuite dans la pièce principale pour finalement salue Swee, elle aperçut une autre femme plus loin. Elle semblait calme mais on voyait qu'elle ne semblait pas d'extrême bonne humeur et elle ne prit que peu de temps pour connaitre qu'elle en était la cause...
Taylor - Swee tu étais vraiment obligée d'essayer de traumatisé notre colocatrice dès le premier jour ? J'espère que tu lui as pas dit qu'on aimait brulée tout ce qui nous tombe sous la main, elle va passer ses journées enfermée a double tour !
L'étudiante jeta un regard vers l'autre blonde et la détailla rapidement de haut en bas, puis détourna les yeux, pas plus intéressait que ça. Là, elle était fatiguée et avait besoin d'un peu de repos, ne serais-ce que quelques minutes. |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: ••• Alone is a forgiven word •• Libre. | |
| |
| | | | ••• Alone is a forgiven word •• Libre. | |
|
Sujets similaires | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |